La supplémentation en oméga-3 réduit les risques cardiovasculaires
Allégation approuvée par l’EFSA
- À hauteur d’un apport quotidien de 250 mg d’EPA et de DHA, les acides gras oméga-3 EPA et DHA contribuent au fonctionnement normal du cœur.
- À hauteur d’un apport quotidien de 3 g d’EPA et de DHA, les acides gras oméga-3 DHA et EPA contribuent au maintien d’une pression artérielle normale.
- À hauteur d’un apport quotidien de 2 g, le DHA et l’EPA contribuent au maintien d’un taux normal de triglycérides sanguins.
Contexte de l’allégation de l’EFSA
Plus de 4 000 études démontrent les bienfaits de l’EPA et du DHA sur la santé cardiaque humaine. Par ailleurs, de faibles niveaux d’oméga-3 dans l’organisme sont associés à un risque cardiovasculaire accru. Les acides gras oméga-3 contribuent également à la santé des vaisseaux sanguins en diminuant la rigidité artérielle et en augmentant la fonction endothéliale.
The omega-3 fatty acids EPA and DHA, as part of an overall healthy diet and lifestyle, help support the heart in a variety of ways. In addition, low omega-3 levels in the body are associated with increased cardiovascular risk.
Given that many people aren’t getting enough omega-3, due to not eating enough fish or getting enough sun on the skin, it’s important to obtain more of these nutrients.
According to the results of a study conducted under the auspices of Harvard Medical School, people with a low dietary intake of fish will likely reduce their cardiovascular risk with omega-3 fatty acid and vitamin D supplementation.
Known as the Vital study, this on-going research is investigating whether dietary supplements of vitamin D3 or omega-3 fatty acids reduce cardiovascular risk in people with no prior history of these diseases.
The study further shows that people with a high fish consumption do not appear to benefit from omega-3 supplementation, perhaps because they are already meeting their omega-3 requirements by eating fish (as indicated in the figure below.)
The study, which also looks at the risks for invasive cancer, includes 25,871 people, who were given a daily dose of 1 g of omega-3 (840 mg EPA + DPA and 50 µg vitamin D).
The primary parameters of the study for cardiovascular risk are major cardiovascular events (a composite of myocardial infarction, stroke, or death from cardiovascular causes). It is a randomised double-blind, placebo-controlled trial with two-by-two factorial design.
Principaux résultats concernant le risque cardiovasculaire
Les principaux résultats de l’étude montrent que la supplémentation en vitamine D et en acides gras oméga-3 n’a pas été associée à un risque cardiovasculaire inférieur au placebo. Cependant, chez les personnes dont la consommation de poisson était inférieure à 1,5 portion (100 g) par semaine, le risque d’événements cardiovasculaires majeurs était réduit de 19 %.
Résultats concernant le risque cardiovasculaire secondaire
Les résultats de l’étude concernant le risque cardiovasculaire secondaire montrent que les participants ayant une faible consommation de poisson ont connu :
- une réduction de 28 % du risque d’infarctus du myocarde (IM)
- une réduction de 50 % du risque de décès par infarctus
- une réduction de 22 % du risque d’angioplastie
- une réduction de 17 % du risque de maladie coronarienne.
Référence : JoAnn Manson, MD, direction d’étude, www.vitalstudy.org/findings.html/[1] J.E. Manson et al NEJM 2018, Nov 10, DOI : 10.1056/NEJMoa1811403
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Des oméga-3 aux effets prouvés!
Les effets bénéfiques des oméga-3 provenant des huiles de foie de morue ou de poisson sur le cœur, le cerveau et la vue des personnes en bonne santé sont bien documentés. L’autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) a minutieusement analysé toutes les recherches sur les bienfaits des oméga-3 avant d’en autoriser les allégations de santé concernant le cœur, le cerveau et la vue.